les couloirs

Malinda qui venait de passer 1h devant le marchand de familier pour pouvoir recuperer les sujet de ses prochain cour de methamorphose et le fait d'avoir marchander et d'avoir été obliger de menacer le vendeur pour baisser les prix l'avait foutu en rogne. elle était finalement revenue a Poudlard les main serer sur les cage de colere elle passa don dans sa salle de classe et les positionna de façon strategique pour que du tableau elle voit tous les animaux et que les eleve puisse aussi tous les voir. Elle les nourris puis sortit de la salle pour se ballader mais elle était toujours en colere contre le marchand et n'arrivait pas a se calmer elle decida donc de se methamorphoser pour parcourir les couloirs pour se detendre car c'était pour elle le moyen le plus rapide et le plus simple de se calmé. Elle s'enti son corp se changer sous sa peau et devin finalement une panterre noir . ses patte de velour ne fesait aucun bruit sur le carrelage et elle avançait lentement s'arretant parfois pour eviter toute pensé de son felin interieur car il voulait a quelque moment faie ses griffe sur un tzbleau ou joué avec les fantome mais pres un moment elle constatat qu'elle n'avait vue aucun eleve quand une bonne odeur de chair fr... d'une personne arriva vers elle

Isabella marchait dans les couloirs depuis une bonne heure. Elle avait beaucoup de monde à voir. Depuis quelques jours, elle avait une énorme surcharge de travaille et essayait de tout régler le plus vite possible. Elle marchait donc d'un bon pas vers son bureau, saluant au passage les tableaux qui lui faisaient des signes de la tête. A cette heure ci, il n'y avait pas beaucoup de monde. La plupart des élèves éaient en cours, et s'ils ne l'étaient pas, ils avaient certainement mieux à faire que de traîner dans les couloirs. Soudain, elle s'arrêta. Son regard venait de tomber sur une panthère d'un beau noir lustré qui marchait sur le carrelage. Evidemment, ce genre d'animaux n'étaient pas autorisés dans l'enceinte de l'école, sauf pour les cours où ils pouvaient être demandés, donc, il était tout simplement impossible que ce soit un véritable animal. Isabella savait que plusieurs personnes dans l'école pouvaient ce métamorphoser en animal, elle en faisait elle-même partie. Une panthère noire. Elle ne connaissait qu'une seule personne pouvant se transformer en panthère. Malinda Constancia. La proffesseure de métamorphose. Elle s'avanca et alla à sa rencontre:

- Bonjour.

Isabella aurait pu lui dire que ce n'était pas très conseillé de se métamorphoser ici et de se promener dans les couloirs comme ci c'était naturel, mais elle savait à quel point il pouvait être agréable d'être dans un corps de félin, puisqu'elle pouvait elle-même se transformer en tigre blanc.

l'odeur devenait de plus en plus fort quand elle vit Isabella la directrice. elle leva la tête baissa les oreille les yeux grand écarquillé de surprise elle n'avait pas prévu de la rencontrée mais bon elle essaya de sourire mais ne réussi qu'a former une grimace assez pittoresque sur son visage puis répondit a la salutation de la directrice

-Bonjour tu vas bien ?

Elle la tutoyait car Malinda avait énormément de mal a vouvoyez elle elle n'aimait pas sa non plus elle trouvait que cela prouvait que l'on était inférieur a la personne avec qui on parlait. Puis elle réalisa qu'elle n'avait prononcé qu'un espèce de miaulrugissement. En faite c'était plutôt un gémissement ponctuer de plusieurs grognement qui finissait pas un miaulement plaintif enfin le truc qui donne envi de faire un faux sourire chaleureux en déclarant "tous va bien se passer ne t'inquiète pas" et reprit sa forme humaine pour répéter la phrase en souriant plus convenablement et en essayant de cacher sa gène pour avoir sortit de sa gueule un son aussi bizarroïde et assez pitoyable.

Isabella sourit, amusée pas l'espèce de sourir puis par l'étrange son qu'émit Malinda. Elle la regarda ensuite en levant un sourcil, pour lui montrer qu'elle n'avait pas comprit. Celle-ci reprit sa forme normale et lui répéta la question qui sonnait de manière si étrange quand elle était dans sa peau de panthère noire.

-Bonjour tu vas bien ?

Isabella était habituée à parler d'une manière qu'elle qualifiait en général de "familière" avec Malinda. Elle aimait bien cette proffesseure au caractère assez difficile qui ne se laissait jamais faire. C'était le genre de personne qu'elle appréciait. Pourquoi? Parce qu'elle était sûre de pouvoir compter sur ce genre de personne contrairement aus personnes simples d'esprits qui donnait l'impression de ne jamais pouvoir faire quoi que ce soit seules.

- Ca va. Et toi?

Echange habituel entre deux personnes qui se rencontrent pour la première fois de la journée. Classique. C'était comme un rituel et ce à n'importe qu'elle âge quand on commence à grandir un peu. Isabella sourit encore. Elle se demandait si, comme d'habitude, la prochaine phrase serai: "Alors, quoi de beau?".

Elle répondit sans enthousiasme en se rappelant de l'infernal vendeur de familier a qui elle avait faillit envoyer un poing juste pour le plaisir de casser quelque dent a une personne désagréable

-Ouaich ouais sa peut aller et toi quoi de beau? tu doit bien t'amuser dans ton bureau seul...

Elle avait spécialement appuyer sur le mot seul avec un petit sourire et ajouta toujours avec la même tonalité et le même ton enquiquineur.

-... au milieu de dizaine de bout de papier.

Sur le coup cela la faisait rire mais elle savait que c'était très très pénible de remplir de la paperasse faut toujours faire attention a pas faire tomber les pile et ne pas mélanger le boulot fait et le pas fait.

Isabelle regarda de travers la proffesseure. Elle avait parfois du mal avec l'humour, en particulier quand elle était réveillée depuis peu et qu'elle voyait la montagne de travail qui l'attendait. Bref, elle ne comprit même pas que c'était ironique et répondit tout naturellement:

- En fait il n'y a rien d'amusant à être seule dans son bureau avec la paperasse. Je dois dire que si je pouvais ne pas le faire, je m'en passerai bien. Mais il faut bien que cela se fasse et comme je suis la directrice c'est mon travail.

Elle finit sa petite leçon et c'est à ce moment là qu'elle comprit que c'était ironique. Elle se traita de débile mentalement. Elle espérait que Malinda prendrait aussi sa réponse comme de l'ironie et ne la prendrait pas au sérieux en voyant clair dans son jeu. Elle croisa les doigts intérieurement. Elle détestait se tromper et faire des erreurs, elle faisait donc en sorte de ne jamais en faire ou de les réparer rapidement si elle en faisait. Et là, c'est ce qu'elle faisait, ou tout du moins, espérait faire.